Apologie du crime, de la violence et de la haîne raciale au « Jeu de Paume » : Intolérable bienveillance de l’Etat français!

Apologie du crime, de la violence et de la haîne raciale au « Jeu de Paume » : Intolérable bienveillance de l’Etat français!

La Galerie Nationale du Jeu de Paume héberge une exposition faisant l'appologie du crime racial et du terrorisme

La Galerie Nationale du Jeu de Paume héberge une exposition faisant l’appologie du crime racial et du terrorisme!

Liberté d’expression et licence artistique :
L’art bénéficie d’un privilège rare en ce monde : celui de la « licence artistique » qui permet à l’artiste de s’affranchir de nombre de bienséances

S’ajoute à cela la liberté de conscience et la liberté d’expression, qui autorise de soutenir à peu près toutes les idées, tous les thèmes, pourvus qu’ils ne violent pas l’ordre public français.

 

Au nom de cet ordre public, quelques rares exceptions à la liberté de conscience et à la liberté de d’expression ont été imposées, telles que la pornographie, l’incitation à la violence, l’incitation à la pédophilie, l’incitation à la haine raciale, ou l’apologie de certains mouvements idéologiques (nazisme, terrorisme notamment).

Détournement :
Au nom de cette liberté d’expression, les journalistes réputés humoristiques, de mouvance souvent d’ultra-gauche, se complaisent à harceler les religions de tout bord. Avec les conséquences que l’on connaît lorsque, au lieu de Marx, de Moïse ou de Jésus, c’est un autre barbu du nom de Mahommet qui est pris pour cible: émeutes raciales dans les rues, incendie des locaux de Charlie-Hebdo… le tout sans aucune réaction de l’Etat, si ce n’est des borborygmes de couardise politique majeure.

2Kismokton!

Mais au nom de cette liberté d’expression, les représentants des religions catholiques qui souhaitent réagir à ce qu’ils considèrent être le viol de leur conscience religieuse lorsqu’on leur présente le Christ compissé, la Vierge prostituée ou d’autres thèmes éminément blasphématoires, se font renvoyer dans les cordes par la justice et la préfecture, qui estiment que la liberté de conscience s’impose et permet de moquer ou dénigrer un comportement religieux.

La Mémoire courte:
Et au nom de cette liberté d’expression, la Galerie du Jeu de Paume présente une exposition qui fait ouvertement l’apologie du terrorisme antisémite! Et personne n’y trouve rien à redire, hormis l’Association des Victimes du Terrorisme (la France, rappelons-le, a été durement touchée par le terrorisme islamique, sur son territoire et hors de son territoire). Attentat de la Rue des Roziers, Attentat du Lycée Carnot, Attentat du RER St Michel, Attentats divers qui ont tué, mutilé et traumatisé notre lot de ressortissants français. La France a toujours eu, concernant la défense de ses intérêts, la mémoire terriblement courte!

 Corpus Delictus : L’exposition « DEATH »
Cette exposition, présentée au Jeu de Paume depuis le 1er juillet 2013 et jusqu’au 1er  septembre 2013 (soit visible par tous les touristes venant à Paris cet été) Son pitch:

Death, dernière série en date d’Ahlam Shibli, spécialement conçue pour cette rétrospective, montre comment la société palestinienne préserve la présence des « martyrs », selon le terme employé par l’artiste. Cette série témoigne d’une vaste représentation des absents au travers de photographies, de posters, de tombes et de graffitis exhibés comme une forme de résistance.

 De quoi s’agit-il? Ni plus ni moins que de photographies prises in-situ, dans les foyers des terroristes palestiniens, après qu’ils aient réalisé leur forfait martyrisateur et accédé à la béatitude des 60 vierges par l’envol en multiples fragments de leurs corps transformés en bombe humaine, explosant au hasard dans une foule, visant spécifiquement des cibles civiles, tuant et mutilant des enfants, des femmes, des vieillards, et ne visant à aucun moment des cibles militaires!

Voici ces « martyrs » qui s’affichent aujourd’hui au Jeu de Paume! Ce ne sont pas des combattants pour leurs droits civils ou religieux. Ce sont des terroristes, au sens que retient le Droit International Public: Des combattants irréguliers, financés par des organisations terroristes, qui visent à « terroriser » des populations civiles par des attentats non-ciblés, aléatoires, rendant la vie civile impossible.

Ces terroristes, les activistes palestiniens les ont renommes « martyrs », faisant injure par la même occasion à tous les martyrs juifs et chrétiens qui ont accepté la souffrance qui leur a été imposée par l’autorité comme preuve de leur foi.

Voici le résultat de l’apologie du terrorisme : des victimes civiles, des enfants mutilés…

Or, ces terroristes (je ne peux me résoudre à les appeler « martyrs » – martyrs de quoi si ce n’est d’eux-mêmes?), alors même qu’ils devraient être conspués, pour ce qu’ils ont participé à l’agravation de la guerre entre deux peuples, pour ce qu’ils ont entraîné dans leur mort explosive des enfants innocents, des passants innocents, … ont montré qu’ils étaient plus motivés par la destruction de l’autre que par la préservation de leurs droits et de leurs intérêts.

Il est inconcevable qu’on puisse encore, en 2013, en France, faire l’appologie de tels actes, en mettant en scène des terroristes qui sont honorés dans leurs familles, dans leur société, post-mortem.

Cette mise en scène participe d’une évidente appologie de la violence, et de la haîne raciale. Car ne nous y trompons pas : les martyrs présentés ici, ce ne sont pas les moines de Tehédine, ni les nourrissons israéliens égorgés dans leurs sommeils. Non! Ce sont les auteurs de ces violences. Ces faux martyrs ne sont morts que pour tuer des juifs. Et ils n’ont visés ces juifs que pour la raison qu’ils étaient juifs. Et pour aucune autre raison. Leur combat n’est pas militaire. Ils ne se sont pas attaqués à une place militaire, ni à un objectif militaire, mais exclusivement à un objectif civil!

Pouvez-vous imaginer un jour de trouver un côté artistique à une exposition mettant en scène les bourreaux du génocide rwandais? Et pourtant c’est ce qui se fait au Musée du Jeu de Paume pour les terroristes palestiniens, bourreaux des juifs d’Israël et du monde entier.

2Kismokton!

Responsables et coupables : La conservatrice du Musée du Jeu de Paume, et les commissaires de l’exposition, MM. Carles Guerra, Marta Gili, João Fernandes et Isabel Sousa Braga, participent directement de ce délit d’incitation à la violente, d’appologie du crime de guerre, et d’incitation à la haine raciale.
Il est tant que les responsables paient. Et que justice passe;

Que cette exposition ordurière soit interdite, et leurs organisateurs condamnés dans la rigueur de la loi.

J’appelle tous les responsables politiques, tous les responsables administratifs ayant un pouvoir dans ce dossier, et tous les procureurs si prompts à s’indigner habituellement, à se saisir de cette honte pour la France qu’est devenu le Musée du Jeu de Paume, et à réclamer des sanctions, administratives, civiles et pénales contre les impétrants.

2Kismokton? pas de moi cette fois!

Politique du logement : une politique de Gribouille

Politique du logement: une politique de Gribouile!

La politique du logement mise en place par le gouvernemant Ayrault et Cécile Duflot ressemble à s’y méprendre à une politique de Gribouille:

  • Annulation de la loi sur l’augmentation de 30% des droits à contruire
  • Prévision incantatoire de 50.000 nouveaux logements

Le projet de loi évoqué par Cédcile DUFLOT pour lutter contre la pénurie, essentiellement en Ile-de-France, prévoit la cession de 930 terrains du patrimoine de l’Etat. Dont 350 en région parisienne. Soit une moyenne de 54 logements par terrain, là où l’on sait pertinament que la moyenne de logements par terrain en région parisienne atteind difficilement les 30 logements, ce qui est déjà considérable (30 logements, signifiant des immeubles de 8 étages ayant en moyenne 4 appartements par pallier, ce qui est loin d’être la norme francilienne, ne serait-ce que pour des questions de hauteur et de droit à construire, précisément).

A Paris, on évoque 59 hectares de terrains cessibles identifiés, qui, pour le ministre du logement, représenteraient 8050 logements.

Calcul : 1 Ha = 10.000 m2. Soit une surface constructible de 59.000 m2.
Or, le plan d’occupation des sols prévoit un COS de 3. Soit pour 1m2 au sol, 3m2 autorisés en construction, surface incluant les oeuvres brutes.
Soit 177.000 m2 de surface habitable.
Soit 2.212 logements de 80m2 (norme pour un logement familial de 4 personnes).

Pour y faire tenir 8050 logements, il faut construire des logements de … 22 m2!

Des studios! Voilà ce que propose Cécile DUFLOT pour lutter contre la pénurie de logements : créer 8050 studios de 22 m2!

Abrogation de la loi sur les droits à construire : Alors que la loi votée l’an passé par le gouvernement Fillon aurait permis d’augmenter de 30% les droits à construire partout en France, y compris en Ile-de-France, ce qui, en passant le COS de 3 à 4, aurait permis à l’initiative privée de multiplier d’1/3 la surface constructible actuelle.

Soyons honêtes, tous les immeubles n’auraient pas été surélevés de 2 étages. Mais les promoteurs auraient pu augmenter leurs projets d’un ou deux étages sociaux, ou, dans une logique de réhabilitation, rajouter un étage aux immeubles collectifs déjà existants.

Et là, soyez certains que les 50.000 logements auraient largement été atteints, puisqu’il a été prouvé que l’initiative privée a permis de créer 100.000 logements!

Car la difficulté pour créer des logements, ce n’est pas le financement, ni la vente. C’est bien le foncier, devenu trop cher car introuvable, ou devenu trop compliqué à construire en raison des règles d’urbanisme qui, le plus souvent, ne servent qu’à préserver une vue.

Jouer les méchantes :Cécile Duflot peut toujours jouer les méchantes en durcissant les obligations des communes de +50.000 habitants, qui doivent augmenter le seul de logements sociaux à 25% en 2025, ou subir des pénalités multipliées par 5, mais si aucun terrain n’existe, on ne voit pas bien comment les logements sortiront de terre! Sauf à faire des hôtels-cabine et à appeler celà des logements. Après tout, le gouvernement Ayrault essaye bien de nous faire passer 8050 studios pour des « logements ».

2kismokton?
Comme d’habitude : du peuple.

 

Santé Publique : Le contrôle comptable des dépenses de santé, usine à gaz contre-productive

La politique de contrôle comptable des dépenses de santé devient une usine à gaz contre-productive.
Ainsi de cette pharmacie de Aivault, dans les Deux-Sèvres, qui s’est vue infligée une sanction par l’Assurance Maladie pour n’avoir pas délivré une proportion suffisante de médicaments génériques : Déconventionnement pendant un mois.
 
Conséquence pour l’officine :perte de chiffre d’affaires puisque le déconventionnement prive ses patients du tiers-payant. Or, les patients réguliers, habitués au tiers-payant, sont capables de changer d’officine pour ne pas faire l’avance du prix des médicaments, d’autant plus qu’il s’agit souvent de consommation récurente.

Les pharmaciens associés de l’officine envisagent de faire appel auprès du Tribunal des affaires sanitaires et sociales. Mais cet appel viendra après la bataille.

La faute de l’officine? Ne pas être parvenue à réaliser un ratio générique/non-générique de 60%. Mise en garde par la Caisse d’assurance maladie courant 2011, elle n’a pu réaliser que 50% au lieu des 60% fixés unilatéralement par la CPAM.

Côté CPAM, qui ne s’émeut pas de l’iniquité de la mesure, la décision est conforme à l’accord conventionnel sur le tiers-payant générique.
Selon Julien Bouchereau, responsable régulation-juridique de la CPAM des Deux Sèvres, et responsable du scandale, « Le taux de distribution de médicaments génériques dans l’officine incriminée se situe de 30 à 50% alors que la majorité de la profession dans le département affiche des taux compris entre 75 et 80 % ».

Le problème n’est évidemment pas la question du respect d’un objectif, mais de savoir si l’objectif est réaliste. Même si la moyenne de la profession se situe autour de 75% de générique (ce qui reste à prouver), il en est des patients comme des pommes : tous ne se ressemblent pas!

D’autant que, lorsque le médecin prescripteur inscrit « Non-substituable » sur la prescription, le pharmacien ne peut rien y faire.

Or, le choix générique/princeps a été remis en cause par les médecins en début 2012 sur plusieurs aspects:
– la qualité du médicament prescrit,
– l’utilité des adjuvants,
– le goût des génériques, qui modifie très fortement l’habitude de prise des patients, surtout âgés, et remet en cause la qualité des soins prodigués.

Selon la CPAM, un important mouvement de baisse de la consommation des génériques a été initié en 2012, portant le taux de consommation de génériques de 79% en 2010 à 72% en 2012.

Je ne trouve pas normal que ce mouvement de baisse soit imputé à tort aux pharmaciens, dès lors qu’il est essentiellement initié par les médecins, dans l’exercice de leur responsabilité professionnelle, dans le cadre du fameux colloque bilatéral entre le médecin et son patient.

 
Le choix de la prescription la plus adaptée au patient fait partie des obligations imposées au médecin par le Code de Déontologie. Il apparaît aujourd’hui ubuesque qu’une sanction puisse être imposée à un pharmacien parce qu’un médecin a respecté son engagement.
 
2kismokton?
Du professionnel de santé et du patient. Donc de vous. Et ce n’est pas fini!
 
(Article diapublié sur Viadéo, hub Santé Publique et droits privés http://www.viadeo.com/groups/?containerId=002157e2nb3zuh20)

Arrêté anti-mendicité – Donne ta main mon garçon!

Un geste fort

Pas moins. Ce geste présenté comme une preuve de courage et de caractère, est celui commis par le nouveau Préfet de Police de Paris, à savoir la non-reconduction des arrêtés anti-mendicité (sur les Champs Elysées, les Grands Magasins et le Louvre).

Pourquoi donc ne pas reconduire l’arrêté anti-mendicité? Simplement parce que le Préfet considère que la sanction associée (amende de 35 €) est peu dissuasive!

Est-ce pour autant une raison de renoncer à lutter contre la mendicité?

Sur certains boulevards parisiens, on ne peut plus avancer sans qu’une pseudo-gitane vous agrippe le bras pour exiger de vous lire la bonne aventure. Et j’ai vu des piétons devoir accélérer le pas, faire des grands gestes, courir parfois, pour ne pas subir cette mendicité aggressive.

Je ne compte pas non-plus ces faux eclopés qui avancent sur une béquille, bloquant le trottoire de leur corps, et parvenant encore à tendre la sébille.

Je ne compte pas non-plus – surtout – ces faux parents qui arborent leurs enfants (parfois des pré-adolescents) faussement endormis sur leurs genoux, pour ne plus avoir faim.

Vous noterez que ce ne sont pas les SDF qui agissent de la sorte, mais une catégorie très particulière de mendiants qui se regroupe tôt le matin, se grimme et se costume, et rapporte le soir au campement la recette de la journée.

Faut-il renoncer à lutter contre cette plaie? Faut-il accepter que le piéton soit en permanence accroché par ces faux-mendiants? Car les vrais mendiants nous les connaissons tous. Nous les croisons au quotidien. Nous échangeons parfois un regard, parfois une cigarette, un café, un mot. Ceux-la ne vous agressent pas. Ils demandent. Vous passez et choisissez. Ceux-ci en revanche ne vous laissent guère d’autre choix que de succomber à la sollicitation ou de fuire.

Faut-il renoncer à lutter simplement parce que la sanction n’est pas dissuasive? Quel mauvais exemple donné au « bon peuple de france »! Faites donc la grève des PV! Refusez de payer. Résistez à la loi!

C’est évidemment le contraire qu’il faut faire ! Il faut se donner les moyens de sanctionner plus fortement la mendicité organisée, qui s’apparente par certains côtés au crime organisé. Une autre organisation, mais une organisation redoutable également, clanique, qui passe les frontières de l’Europe à la barbe des pandores.

2kismokton!