L’attentat de Nice du 14 juillet et l’Euro 2016

Solidaires avec les Niçois - 14 juillet 2016

Solidaires avec les Niçois – 14 juillet 2016

L’attentat de Nice du 14 juillet et l’Euro 2016

Réflexion simplifiée sur cet attentat qui frappe la France après une trève inespérée pendant l’Euro 2016. Lorsqu’on prends en considération le rapport entre les conséquences du dernier attentat (plus de 80 morts, pluisieures centaines de blessés) et ce qui aurait pu se passer si ce camion s’était aventuré à la sortie d’un match, je me dis que les terroristes avaient un intérêt très particulier à ne pas agir pendant le Mondial, et je me demande s’il faut m’en féliciter…
Fans de foot?
Car soit les terroristes sont des fans de foot, incapables d’agir tant que le sifflet final n’a pas retenti, ce qui est après tout toujours possible, mais peu crédible par rapport à l’intérêt supérieur qu’ils revendiquent et pour lequel ils sont prêt à mourir!
Instructions ou rémunération?
Soit les terroristes ont reçu des instructions précises pour ne pas nuire à la compétition de football. Et là, celà pose de nouvelles questions:
-> Auraient-ils pu être payés pour accorder cette trêve inespérée? Et par qui? (l’UEFA?la France?)
-> Auraient-ils pu être dissuadés d’agir par les pays qui les financent et qui sont par ailleurs des investisseurs importants dans de nombreux clubs de football européens? Ce qui poserait de nouvelles questions, d’ordre plus politique…
Enquête?
Aucune des deux solutions n’étant satisfaisantes, j’attends avec impatiente les conclusions de la commission d’enquête parlementaire qui ne manquera pas de se constituer sur les variations de la politique anti-terroriste française. En toute hypothèse, je ne peux pas m’empêcher de penser aux conséquences désastreuses de la rupture de cette trêve si elle était intervenue pendant cette période ahurissante qu’a constitué la période mai/juin/juillet, qui a cumulé les violations de tous les interdits de l’Etat d’Urgence:
– occupation quotidienne de la Place de la Bastille par les gauchistes de « Nuit Debout »
– occupation quotidienne de la ZAD de Notre Dame des Landes
– Manifestations bi-hebdomadaires contre la loi « Travail »
– émeutes de supporters
Etat d’Urgence inutile!
Fort heureusement, les terroristes ont été sympas. Ils ont évité de prendre leur avantage au moment le pire pour la France. Faudrat-il en plus les en remercier?
J’ai parfois du mal à me suivre moi-même. Là, je pense qu’on a dépassé le seuil d’incompétence de notre Gouvernement, qui est manifestement incapable de nous protéger. Qu’il ne vienne pas s’enorgueillir du calme anormal des épreuves de l’Euro 2016. Ce n’est visiblement pas de son fait! On est probablement passé à moins d’une calendre de camion de la catastrophe maximale.
2Kismokton? Poser la question c’est toujours y répondre!
Ariel DAHAN

Mensonges d’Etat : Peut-on encore avoir confiance dans la parole de l’Etat?

Mensonges d’Etat : Peut-on encore avoir confiance dans la parole de l’Etat?

On le pensait révolu, ce temps des mensonges d’Etat. Hélas, il semble qui revient comme le chiendent avec chaque nouveau gouvernement socialiste!

  • Qu’on se souvienne du Rainbow Warrior!
  • Qu’on se souvienne de la négation du gouvernement Jospin de la montée de la violence urbaine et de l’antisémitisme!
  • Qu’on se souvienne des affirmations lénifiantes du candidat-devenu-président Hollande!

Le Président Normal : Ainsi, le mythe du « président normal » n’aura pas tenu une année d’exercice. Le peuple français s’est vite rendu compte que les promesses de Hollandes n’engageaient que les idiots qui y avaient cru. Mais il est tout de même intéressant de relever qu’il a reconnu hier que le concept de « président normal » serait un concept « déjà vieux, ancien », à l’occasion du diner donné par l’Association de la Presse Présidentielle hier dans les salons de l’Ecole Polytechnique. On en a pourtant mangé de la fausse présidence normale, et des postures gouvernementales prétendument modestes. Tout çà pour ça!

Les impôts : Plus grave, de la parole du gouvernement sur son engagement de ne pas augmenter les impôts. Depuis le début de la campagne présidentielle il y a deux ans, jusqu’à ce jour, rien n’a changé dans la situation économique de la France. La crise économique était prévisible. Mais le couple Hollande-Ayrault a voulu nous faire accroire que la Gauche serait capable de créer le miracle économique que la France attends depuis les années 70! Lorsqu’il est revenu une première fois sur son engagement, en augmentant massivement les impôts, sans toucher notablement aux dépenses, pour l’année fiscale 2013, Hollande et son âme damnée se sont engagés à ne pas remettre le couvert en 2014. Et pourtant, à l’occasion des pinces-fesses du 14 juillet, ne voila-t-il pas que notre dégustateur de Flamby annonce de nouvelles hausses d’impôts pour 2014?

La Transparence fiscale: Plus symptomatique, aussi, l’épisode risible de la fausse transparence imposée après la découverte du « problème Cahuzac ». Découverte que de nombreux intervenants affirment ne pas être aussi ingénue, Hollande étant très fortement soupçonné d’avoir couvert son ministre, qui tout comme son trésorier de campagne, fait la part belle aux avoirs cachés en Suisse (ou ailleurs).

Le patrimoine des élus: Plus agaçant, cette capacité qu’a la Hollandie de faire des estimations ridicules de son patrimoine. Toute la profession est unanime à dire que le patrimoine du Patron est largement supérieur en valeur à ce qu’il a estimé…

L’inversion lexicale : Plus grave, enfin, le fait que chaque affirmation officielle du père Hollande ou du compère Ayrault se soldent par des mesures gouvernementales strictement inverses. Affirme-t’il vouloir maintenir la formation professionnelle, que son gouvernement fait sauter les incitations fiscales de formation en alternance dans les TPE!

Le déni comme méthode de gouvernement : Plus dangereux, enfin, le fait que le déni d’Etat redevienne une méthode de gouvernement en matière de maintien de l’ordre public:

PSG : Lorsque la fête du PSG fut gâchée, tout le monde a vu les images des supporters du PSG qui revendiquaient essentiellement être supporters du Quatar. Mais le gouvernement n’a retenu que la responsabilité d’un groupuscule de 50 jeunes supporteurs d’extrême droite. Et pourtant ce ne sont pas eux qui ont démembré la place du Trocadéro. Ce ne sont pas eux qui ont cassé les vitrines, mis le feu aux voitures. Les vidéos des événements montrent bien que la responsabilité de ces émeutes incombe non-pas au groupuscule d’extrême-droite, mais à la meute d’ultra-gauche persuadée que lorsque le PSG avance, c’est avant tout son sponsor, le Quatar, qui progresse!

Pour parler clairement, les images des vidéos prises ce jour là montrent essentiellement des jeunes d’origine ethnique d’outre-méditerranée. Des jeunes provenant essentiellement des banlieues. Ces jeunes dont le seul modèle d’intégration semble aujourd’hui être le maillot du PSG aux couleurs du Quatar…

Et à Brétigny, dans l’immédiateté de la catastrophe ferroviaire la plus importante que la France ait jamais connue depuis 30 ans, des témoins ont affirmé avoir assisté à des scènes de pillage des victimes, vives ou mortes.
Quelle fut la réaction des officiels? Avant même d’enquêter, le mot d’ordre a été passé : il n’y a pas eu de « vollerie » ou de « pillagerie » à Brétigny!
On a presque failli y croire, si ce n’est la plainte d’un sauveteur qui s’est fait dérober son téléphone portable…

On a presque failli y croire, si ce n’est … le rapport de la Direction Centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train.

Le Point fait état sur son site d’un rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l’opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

Le document ne soulève aucun doute. IL est précis, détaillé, et sobre:

« À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles »,

« Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s’emparer d’effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes. »

« Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l’accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l’Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé…).

Démentis officiels : Visiblement les CRS, la Croix-Rouge et le Samu n’étaient pas au même endroit au même moment, puisque ceux-ci affirment n’avoir constaté aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale sur les lieux de l’accident.

Peut-on accuser les CRS de mentir? Ce n’est pas leur habitude. Un rapport de ces compagnies fait foi jusqu’à preuve du contraire. Or, les démentis officiels ne sont pas des preuves. Uniquement une parole publique, qui donne le ton et montre quelle politique de sécurité et de maintien de l’ordre public le Président Hollande et le Gouvernement Ayrault veulent donner à la France.

Le discours lénifiant de la gauche, qui revient comme en 92, montre ouvertement que le niveau de sécurité que ce gouvernement souhaite pour ses concitoyens, c’est un niveau de sécurité qui régresse aux pires heures du Moyen-Âge : une France qui laisse faire le pillage, les émeutes, le picorrage (méthode de rémunération des armées sous l’ancien régime, où les survivants des conflits récupéraient les armes et les chevaux des mort)!

Jadis déjà le Premier Ministre Jospin avait trébuché sur la prise en compte de la sécurité intérieure, pensant pouvoir cacher aux citoyens l’étendue de l’augmentation de cette violence urbaine.

Le gouvernement HOLLANDE/AYRAULT prends le même chemin. Et ce ne sont pas les efforts de Manuel VALLS pour se faire passer plus méchant qu’il n’est vraiment qui changeront la donne. Tant que la politique restera libertaire, les prisonniers continueront à se jouer de Taubira, et à jouer la fille de l’air, les mains attachées dans le dos. Comme ce dernier évadé de Lille Sequedin qui a fait déclarer par son frère qu’il sortait « pour les vacances » ou pour le Ramadan!

2Kismokton?

Comme d’habitude : du Con-Tribuable. De vous et moi. Du Peuple.
Ré-agissez!

Politique du logement : une politique de Gribouille

Politique du logement: une politique de Gribouile!

La politique du logement mise en place par le gouvernemant Ayrault et Cécile Duflot ressemble à s’y méprendre à une politique de Gribouille:

  • Annulation de la loi sur l’augmentation de 30% des droits à contruire
  • Prévision incantatoire de 50.000 nouveaux logements

Le projet de loi évoqué par Cédcile DUFLOT pour lutter contre la pénurie, essentiellement en Ile-de-France, prévoit la cession de 930 terrains du patrimoine de l’Etat. Dont 350 en région parisienne. Soit une moyenne de 54 logements par terrain, là où l’on sait pertinament que la moyenne de logements par terrain en région parisienne atteind difficilement les 30 logements, ce qui est déjà considérable (30 logements, signifiant des immeubles de 8 étages ayant en moyenne 4 appartements par pallier, ce qui est loin d’être la norme francilienne, ne serait-ce que pour des questions de hauteur et de droit à construire, précisément).

A Paris, on évoque 59 hectares de terrains cessibles identifiés, qui, pour le ministre du logement, représenteraient 8050 logements.

Calcul : 1 Ha = 10.000 m2. Soit une surface constructible de 59.000 m2.
Or, le plan d’occupation des sols prévoit un COS de 3. Soit pour 1m2 au sol, 3m2 autorisés en construction, surface incluant les oeuvres brutes.
Soit 177.000 m2 de surface habitable.
Soit 2.212 logements de 80m2 (norme pour un logement familial de 4 personnes).

Pour y faire tenir 8050 logements, il faut construire des logements de … 22 m2!

Des studios! Voilà ce que propose Cécile DUFLOT pour lutter contre la pénurie de logements : créer 8050 studios de 22 m2!

Abrogation de la loi sur les droits à construire : Alors que la loi votée l’an passé par le gouvernement Fillon aurait permis d’augmenter de 30% les droits à construire partout en France, y compris en Ile-de-France, ce qui, en passant le COS de 3 à 4, aurait permis à l’initiative privée de multiplier d’1/3 la surface constructible actuelle.

Soyons honêtes, tous les immeubles n’auraient pas été surélevés de 2 étages. Mais les promoteurs auraient pu augmenter leurs projets d’un ou deux étages sociaux, ou, dans une logique de réhabilitation, rajouter un étage aux immeubles collectifs déjà existants.

Et là, soyez certains que les 50.000 logements auraient largement été atteints, puisqu’il a été prouvé que l’initiative privée a permis de créer 100.000 logements!

Car la difficulté pour créer des logements, ce n’est pas le financement, ni la vente. C’est bien le foncier, devenu trop cher car introuvable, ou devenu trop compliqué à construire en raison des règles d’urbanisme qui, le plus souvent, ne servent qu’à préserver une vue.

Jouer les méchantes :Cécile Duflot peut toujours jouer les méchantes en durcissant les obligations des communes de +50.000 habitants, qui doivent augmenter le seul de logements sociaux à 25% en 2025, ou subir des pénalités multipliées par 5, mais si aucun terrain n’existe, on ne voit pas bien comment les logements sortiront de terre! Sauf à faire des hôtels-cabine et à appeler celà des logements. Après tout, le gouvernement Ayrault essaye bien de nous faire passer 8050 studios pour des « logements ».

2kismokton?
Comme d’habitude : du peuple.

 

Les patrons de boites de nuit demandent à la Police d’assurer leur sécurité!

C’est le monde à l’envers chez les nyctalopes !

Depuis que certains ont pris la fâcheuse habitude de mitrailler les boites de nuit au prétexte qu’ils ont été refoulés par le videur, grosse tendance délinquante de la saison, les patrons de boites de nuit réclament une protection policière aux abords de leurs établissements.

Un peu comme aux abords des écoles, lieux de cultes et autres sites réellement sensibles.

2kismokton!

Si personne ne nie qu’il existe une augmentation des violences armées devant discothèques, ce n’est certainement pas à l’Etat d’y assurer la sécurité. Il s’agit d’organisations privées qui génèrent moulte bénéfices dont certains sont allégrement dissipés dans certains circuits financiers parallèles. Il leur appartient de faire le nécessaire pour protéger leur clientèle et leur établissement.

Les aéroports, les ambassades, les centres cultuels sensibles y parviennent. Ils engagent un personnel de sécurité un peu mieu formé qu’un simple physionomiste barraqué.

En revanche, cet appel à l’aide devrait être pris au pied de la lettre par d’autres services de l’Etat, en plaçant dans ces établissements un contrôle réel des entrées et des consommations. Histoire d’augmenter les entrées fiscales, et d’éviter les consommations illicites ou excessives.