L’Hétérophobie – nouveau Fascisme social?

Hétérophobie : le nouveau fascisme social?

Je protège tout de suite le terme, car j’ai l’impression qu’il va faire des petits :

Hétérophobie [Auteur : Ariel Dahan] L’hétérophobie est l’hostilité, explicite ou implicite, envers des individus dont les préférences amoureuses ou sexuelles concernent des individus de sexe différent. Cette hostilité relèverait de la peur, de la haine, de l’aversion ou encore de la désapprobation intellectuelle intolérante envers l’hétérosexualité. Elle relève également d’une jalousie morbide à l’encontre des couples hétérosexuels en raison de la stérilité ontologique des couples homosexuels. L’hétérophobie englobe donc dans un même geste les préjugés sur l’homosexualité et l’hétérosexualité, ainsi qu’une volonté de vindicte discriminante envers les hétérosexuels. Au même titre que la xénophobie, le racisme, l’antisémitisme ou l’homophobie, l’hétérophobie paraît être une désignation de l’autre comme le mauvais contraire, inférieur, rétrograde ou anormal. L’hétérophobie, comme l’homophobie peut aller jusqu’à des actes de violence ou à des condamnation institutionnalisée. L’hétérophobie peut être de différentes origines : rejet des positions religieuses, refus des considérations cliniques (en médecine, en particulier en psychiatrie, en pédopsychiatrie et en psychologie), anthropologiques (au nom de la théorie des genres, théorie qui s’oppose à la différenciation des sexes) ou idéologiques (les mouvements politiques LGBT – Lesbien, Gay, Bi et Trans sont à la pointe du comportement hétérophobe), ou issue d’un besoin identitaire sexuel mal assumé.

Sociologie: Etat de Haine de l’autre, à raison de sa différence de genre et d’orientation sexuelle. L’hétérophobie relève d’un double problème : le refus de l’autre en tant que constituant nécessaire à l’évolution de la société, et le refus de l’autre en tant que légitime à revendiquer ses opinions sur la dualité nécessaire des genres et la nécessité de la mixité dans la parentalité. Ce double refus de l’identité de l’autre et de ses idées constitue une forme de fascisme. Le fait que ce fascisme soit mis à l’honneur par une minorité activiste de la société en fait un fascisme social ou sociétal particulièrement dangereux. Jurique 1: Par un jeu de miroir déformant, l’hétérophobie revendique l’application de la loi protégeant les minorités contre les discriminations raciales, religieuses ou sexuelles, et luttant contre l’incipation à la haîne raciale, religieuse ou sexuelle, pour la retourner contre les hétérosexuels en se revendiquant systématiquement victime d’un comportement homophobe. Ce phénomène, né aux USA, et que les commentateurs juridiques appellent le « Cry baby » relève d’une sociologie et d’une pénoménologie de la victimisation comme seul mode de pensée, et comme seule méthode dialectique. Méthode redoutablement dangereuse puisqu’elle interdit celui qui en est frappé de répondre ou de se justifier. Jurique 2: L’hétérophobie revendique, de manière discriminante, un « droit à l’enfant » dans des situations où la nature ne donne pas automatiquement accès à l’enfant, et dans des situations où la loi avait jusqu’à présent vocation à reconstituer une famille juridique complète au profit d’un enfant orphelin. En ce sens, l’hétérophobie oppose la volonté privatiste et égoïste de l’adulte en quête d’enfant à l’intérêt de l’enfant. Politique : Très proche de l’ultragauche, l’hétérophobie use des mêmes méthodes de dénigrement que les mouvements fascistes d’extrême-gauche ou les mouvements négationistes et anti-juif: le glissement sémantique et l’inversion des valeurs. L’oppresseur devient victime. Scientifique : L’hétérophobie est une contre-science qui vient contredire la réalité scientifique de la nécessité biologique et psychologique d’une altérité dans la parentalité. L’hétérophobie prône la destruction de la cellule familiale sexuée, pour la reconstruction d’une cellule familiale recomposée monoparentale ou biparentale monosexuée. Elle repose sur la fiction qu’il est possible de faire accroire à un enfant qu’il peut avoir légitimement deux parents d’un même sexe, alors qu’une telle situation est scientifiquement impossible dans la nature. Religieux : L’hétérophobie est très souvent liée à un rejet de la norme religieuse en matière de filiation et de constitution d’une famille. Dans certains cas, qui relèvent essentiellement de la psychiatrie, l’hétérophobie s’inscrit dans une souffrance réelle de l’individu hétérophobe liée au rejet de sa communauté religieuse, fondé sur l’orthodoxie de la règle religieuse qui, dans l’ensemble des religions monothéistes actuelles, revendique comme seul mode de relations sexuelles autorisées le mode hétérosexuel.

Hétérophobe: [Auteur : Ariel DAHAN] Adjectif: Qualifie une personne qui manifeste une hostilité particulièrement affichée à l’égard des hétérosexuels, du mode de vie hétérosexuel, et du comportement social des hétérosexuels. Généralement associé à une revendication de droits discriminants du droit commun ou d’un délitement social dans les reproductions sociales du couple, de la parentalité, du droit à l’adoption ou des méthodes de procréation. Etre hétérophobe suppose d’inverser la logique et la sémantique, pour qualifier l’hétérosexuel qui ne pense pas comme lui comme un « mauvais pensant », et nécessairement un « homophobe ». Nom commun: Personne qui manifeste de l’hostilité à l’égard des hétérosexuels ou de leur mode de vie ou de leur comportement social. L’Hétérophobe appelle au rejet et à la haine de tout signe d’hétérosexualité. IL appelle à une société hermaphrodite, ou pire, parthénogénétique. Son idéal reproductif serait la reproduction virginale par clonage. Tant que la science ne permet pas le clonage humain, et s’il faut recourir à une gamète d’un genre différent, mieux vaut la prendre avec des pincettes, la plonger dans l’azote liquide et la réinjecter à la seringue de 12. L’hétérophobe est identique à l’homophobe dans son comportement haineux.

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Mariage, Procréation et Adoption pour tous : la combinaison néfaste

MR900382690Mariage, procréation et adoption pour tous : la combinaison néfaste!

Lorsque le PACS a été adopté, j’ai applaudi. Etait-ce l’effet de ma jeunesse? De l’allant socialiste d’alors? Toujours est-il que je trouvais – et que je trouve toujours – légitime que les couples homosexuels puissent obtenir des droits patrimoniaux et fiscaux équivalents à ceux procurés par les effets du mariage dans les couples hétérosexuels.

J’avais bien une réticence pour l’application du PACS aux hétérosexuels, car j’y voyais un détournement de moyens législatifs, une fraude à la loi, pour obtenir des avantages qu’une union libre ne donnait pas. Mais pourquoi diable les hétéro ne se mariaient-ils pas alors? Il semble, l’usage aidant, que le PACS soit devenu chez les hétéro une grande période de fiançailles à laquelle s’ajoute une vie commune devenue normale depuis l’évolution des moeurs. Soit!
J’avais même – par bravache? – commis un article sur la possibilité pour un couple homosexuel de se marier dans le strict respect du code civil, la loi n’instituant pas d’obligation de différence de genre, mais se contentant de demander aux époux de se déclarer mutuellement « mari et femme ».

Pourquoi, alors, suis-je si gêné par le projet dit du « mariage pour tous »? Quelles modifications s’opèreraient dans ma vie, privée ou sociétale, si le mariage homosexuel était rendu possible en France?

 Mariage pour tous

Peu de bouleversements immédiats: Autant le dire tout de suite, si le mariage entre homosexuels était rendu possible, celà ne changerait rien à ma vie. Mais celà pourrait changer à la marge un peu de ma vie sociétale. Essentiellement dans ce passage où le projet tente de faire disparaître la différence des genres masculin et féminin, pour ne faire apparaître que le seul « époux ». Or précisément, j’aime les termes « mari et femme ». Chacun de ces termes ayant une notion spécifique dédiée.

L’état du droit : Egalité des époux : Depuis la réforme du mariage de 1986, il existe une stricte égalité de droit entre les époux, et le fait que l’homme soit appelé « mari » et la femme « femme » n’est qu’une convention sociale. Celà ne change rien aux droits des époux.

Rien, si ce n’est que … au titre des obligations du mariage, le mari s’engage à être le père de tous les enfants conçus par son épouse pendant le temps du mariage. Cette présomption de paternité étant l’un des effets majeurs du mariage en terme de filiation et de paternité.

Cette dernière discrimination sexuelle, qui peut très probablement sembler injuste dans le milieu éthéré des écolos-gauchistes qui tiennent le haut du pavé parisien depuis le 7 mai dernier, cette « honteuse » discrimination sexuelle contre laquelle personne ne peux mais, cette discrimination est pourtant nécessaire. Elle repose sur le principe qu’il ne faut pas pouvoir discuter la filiation d’un couple marié (celle qu’on qualifie de « légitime » car issue d’une situation légale).

Art. 312 C.Civ : L’enfant conçu ou né pendant le mariage a pour père le mari.

Cette discrimination sexuelle garantie à la future mère que la paternité de son enfant ne sera jamais remise en cause par son mari, quelle qu’ait été sa conduite, et celle de son époux. Les soirées fines de province et les clubs échangistes de Paris ont encore de beaux jours à courir. La loi sur le mariage prévoit, dans ses effets, la possibilité d’être cocu, et en fixe les effets : le cocu reste le père de l’enfant issu de la mère infidèle. Dans certains pays on lapide à mort la femme infidèle. C’est tout à notre honneur de maintenir ce statut ô combien favorable à la femme mariée. D’autres pays plus évolués n’ont pas adopté ce système!

Confusion des genres : Mais si mari et femme sont confondus en un vaste terme générique de « époux », qu’en sera-il de cette merveilleuse disposition du Code Civil, qui oeuvre pour la paix des familles?

Comment réécrire l’article 312 du Code Civil? Faudra-t’il dire L’enfant conçu ou né pendant le mariage a pour père l’époux qui n’a pas accouché? L’époux de la mère? L’époux de l’époux parturient? Faudra-t’il nier la différence sexuelle pour complaire aux lobbys LGBT? On le voit, c’est, globalement, l’un des rares points qui viennent heurter ma conscience de citoyen à l’évocation du projet d’extension du mariage aux homosexuels.

Si le projet ne comportait que la partie « mariage », je pense qu’il serait possible de trouver un moyen d’entente. Il aurait été possible, par exemple, de maintenir le mariage hétérosexuel et d’y adjoindre une cérémonie de mariage homosexuel adaptée à l’union de deux êtres du même sexe, en déclinant des droits spécifiques pour les époux du même sexe.

Discrimination Statutaire : Cette solution est écartée d’office, au motif qu’elle maintiendrait une dissociation statutaire et légale entre les deux couples. Voire! Car de fait, visuellement, la différence sautera de toutes façons aux yeux ! Il manquera indéniablement dans le couple homosexuels un représentant de l’autre genre de l’espèce humaine. De cette différence ontologique il est loisible pour le législateur d’en tirer argument pour dissocier les situations juridiques et prévoir des traitements particuliers à chaque situation.

Un projet qui pourrait repousser les limites de l’inceste: Les interdictions à mariage sont toutes liées à l’interdiction de l’inceste biologique ou juridique (l’inceste juridique étant la relation entre parent et affilié, par exemple). Or, si la loi sur le mariage « pour tous » était adoptée, c’est à terme la logique de ces interdictions à mariage posées par les articles 161 et suivant du Code Civil qui serait modifiée.

Article 161   En ligne directe, le mariage est prohibé entre tous les ascendants et descendants et les alliés dans la même ligne. 
Article 162   En ligne collatérale, le mariage est prohibé, entre le frère et la soeur.
Article 163   Le mariage est encore prohibé entre l’oncle et la nièce, la tante et le neveu.
 
A supposer que la loi sur le mariage homosexuel soit adoptée, comment comprendre l’article 161? Comment l’appliquer à des lignées inexistantes par hypothèse? Imaginons!
Soit un couple homosexuel homme/homme (construction nécessaire pour rendre totalement impossible la filiation naturelle, donc le lignage).
A supposer que ce couple ait un enfant. Cet enfant pourrait être éventuellement rattaché à l’un des deux parents par un lien biologique. Mais certainement pas à l’autre (par hypothèse). Il aurait donc un lignage inconnu. L’impossibilité de mettre en évidence ce lignage empêcherait de créer un empêchement à mariage entre cet enfant et son parent biologique (a.161 C.Civ) ou entre cet enfant et son frère ou sa soeur biologique.
Cet exemple éminément fantasmagorique outre le trait. Mais l’inquiétude du juriste et du citoyen reste d’autant plus réelle que certains faits divers ont mis en évidence de tels cas impossibles de couples constitués de colatéraux adandonnés à la naissance et adoptés dans deux familles différentes.
 
 
Adoption pour tous!

Cette revendication prévisible n’a pas tardé à se confirmer: le projet « mariage pour tous » a très rapidement embrayé sur le projet « adoption pour tous ». Or, la question de l’adoption repose sur un autre moteur que la question du mariage. Et l’enjeu n’est évidemment pas le même.

Le mariage crée une institution (la famille) dotée d’un patrimoine, créant des droits et des obligations réciproques. Créer une famille homosexuelle ne paraît pas incongrüe. Mais cette famille n’est que la réunion des deux êtres initiaux et aux enfants issus naturellement de cette union. Mais il n’est pas question d’étendre cette famille à la filiation artificielle.

L’adoption procède de l’inverse strictement: il s’agit de détruire une institution déjà existante (la filliation naturelle ou légitime de l’enfant à adopter) pour y substituer la filiation nouvelle, artificielle, adoptive. Compte tenu du caractère irrémédiable de cette procédure, le législateur a initialement tenu à ce que l’adoption ne soit pas un outil aux mains de riches capricieux. Raison pour laquelle a été imposée l’idée que l’adoption doit – autant que possible – compenser la disparition de la filliation biologique de l’enfant. Il faut donc recréer une filliation artificielle complète, avec un père et une mère. Dit autrement, la loi ne permet pas de créer des orphelins! Celui qui adopte doit apporter à l’enfant adopté une structure familiale la plus proche possible d’une structure biologique. Avec un père et une mère!

C’est dans ce contexte que l’adoption par des homosexuels a été rendue difficile par l’administration française, avec le soutien de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (en 2001). Mais le célibataire homosexuel s’est vu reconnaître les mêmes droits à adoption que le célibataire hétérosexuel.

D’où la question, très cruelle pour les adultes souhaitant adopter : la réforme du mariage doit-elle entraîner la réforme de l’adoption? Faut-il étendre légalement l’accès à l’adoption aux « parents » homosexuels? Est-il sain, pour l’intérêt de l’enfant adopté, de lui recréer une famille artificielle où il n’aurait qu’une seule sorte de parents – deux pères ou deux mères ? La question est en débat du côté des pédopsychiatres. Mais avant que les médecins s’emparent de la question, la logique voudrait que la reconstruction de la parentalité brisée de l’orphelin passe nécessairement par une reconstruction « possible » dans laquelle l’enfant privé de sa famille biologique pourra se fantasmer et se projeter. Donc un père et une mère.

Procréation pour tous!

La partie « Procréation médicale assistée pour tous », partie qui est voulue par le lobby LGBT, est certainement la partie la plus contestable du projet. Pourquoi ? Tout simplement parceque l’idée d’étendre la PMA aux femmes homosexuelles relève d’un fantasme d’enfantement virginal parthénogénique très dangereux.

La PMA est un moyen thérapeutique de combattre l’infertilité d’un couple. Pas un moyen de passer outre le dégoût de l’acte hétérosexuel chez l’un des partenaires.

Désir d’enfant: L’aspect psychologique du désir d’enfant doit être étudié. Le désir d’enfant est normal chez tout individu qui se projette dans l’avenir. Il est inscrit dans l’identité génétique de tout être vivant, sauf peut-être pour les plantes à reproduction asexuée, fervents utilisateurs du clonage et de la parthénogénèse (conception d’un individu par la seule gamète XX de la femelle).

Le désir d’enfant passe naturellement par le besoin de croiser et mélanger les gènes. C’est la malediction d’Adam et Eve ! « Croissez et multipliez-vous ». Depuis que l’Homme est mortel, il sait qu’il faut transmettre son patrimoine par croisement avec celui d’un autre. Or ce croisement suppose la réunion de deux êtres sexuellement différenciés. Un homme et une femme, qui donneront un père et une mère. Et la société a créé du droit et des statuts autour de cette nécessité physiologique.

Dégoût de l’autre: Mais lorsque le désir d’enfant s’accompagne du dégoût de la relation hétérosexuelle, celà signifie que l’individu en proie à ce désir d’enfant poursuit un but strictement égoïste. L’enfant est recherché pour le parent et non pour l’enfant. L’enfant est une récompense due au parent, et non un individu conçu indépendamment. Le fait d’aller vers l’autre génétique, pour partager son patrimoine avec lui, relève d’une démarche très différente de celle d’exiger un enfant par pur désir – aussi légitime et sincère soit-il!

C’est l’une des raisons qui fait que la PMA est réservée aux couples stériles.
Elle n’est pas non-plus ouverte aux couples non-stériles, mais ayant un désir de virginité.
Elle ne doit pas l’être aux couples homosexuels « per-se ».

Bien évidemment, la thérapeutique reste ouverte à l’individu homosexuel qui se trouverait atteint d’une stérilité biologique avérée. La thérapie doit être ouverte à ceux qui en ont besoin. Mais la PMA n’est pas un choix alternatif d’autres méthodes d’enfantement. La PMA ne doit être considérée que lorsque l’enfantement reste impossible en dépit de la volonté du couple. C’est la fameuse parabole du loto : Pour gagner il faut jouer!

En définitive, je vois donc plus d’inconvénients pour la société que d’avancés. Car en définitive, la principale motivation du mariage, c’est le projet familial, la conception d’un enfant. N’en déplaise aux pro-LGTB qui revendiquent la dissociation entre la copulation reproductive et la copulation amoureuse, et qui renvoient le but reproductif à une conception arriérée du mariage, le Code Civil met bien comme première obligation du mariage l’obligation d’élever ses enfants.

Article 203 C.Civ : Les époux contractent ensemble, par le fait seul du mariage, l’obligation de nourrir, entretenir et élever leurs enfants.

 On ne peut mieux dire ! Les époux contractent ensemble, par le seul fait du mariage, l’obligation de nourrir, entretenir et elever leurs enfants! L’enfant, la famille, constituent bien le premier objectif du mariage.

Raison pour laquelle je m’oppose personnellement à ce projet. Un enfant doit avoir un père et une mère. Il ne peut être question de créer des chimères.

Ariel DAHAN pour 2kismokton

 

Pour aller plus loin :
Définition de l’hétérophobie, un nouveau fascisme social
Le mythe irréaliste du mariage homosexuel (Sylviane Agacinski)
Le premier pas vers la déconstruction méthodique du lien de filiation